De l'importance des villas vénitiennes de la Renaissance.
Si l'on m'avait dit qu'un jour je posterai ici une publicité pour Nike... j'aurais ri. Au cinéma l'autre jour, j'ai plutôt trembloté sur mon siège en tapotant mes yeux humides : réunir Karl
Jenkins et Edmond Rostand, pour mon petit coeur, ce fut trop.
C'est fou, l'effet que peuvent produire quelques violons et une tirade.
Je ne résiste donc pas à l'envie de dire et redire combien Karl Jenkins est pour moi un des plus grands compositeurs actuels, aux côtés de Joe Jisaishi ou Alexandre Desplats. Je l'ai connu toute petite, en Angleterre, à travers Adiemus - bien plus tard j'ai su qu'il composait de la musique dite "savante" comme cette suite Palladio (premier mouvement - Allegretto) ou son Dies Irae, un des plus rythmés qui soient.
Pour Cyrano de Bergerac, l'histoire est plus complexe. Il y a De Cape et de Crocs, il y a mon amour pour la langue française, il y a mon amour pour mon petit frère qui connai(ssai)t la tirade du nez... un beau mélange de sentiments qui viennent de plus ou moins loin, et l'histoire, qui me rend un touuut petit peu larmoyante. Mais juste un peu hein.